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Monday 24 October 2011

Vingt mille lieues sous les mers

Vingt mille lieues sous les mers

Jules Verne


Résumé:
C'est l'histoire du professeur Arronax capturé par le capitaine Nemo et son submersible mystérieux, le Nautilus.

Impressions:
Je trouve en général le livre Vingt mille lieues sous les mers extraordinaire, fascinant, pour plusieurs raisons. Chaque fois qu'on tournait une page on voulait toujours connaitre la suite. Il y avait toujours de l'action et plus encore qui nous attendait constamment.
Par exemple:
- p.392 (Professeur, moi)
-«Ne mesurait-il pas six mètres environ? (le Krakens) Conseil, qui, posté à la vitre, examinait de nouveau les anfractuosités de la falaise.
- Précisément, répondis-je....»

- p.394 et 395: (Capitaine)
-«...nous allons les combattre corps à corps. Je regardais le capitaine... -Corps à corps? répétai-je.
-Oui monsieur.....».

Pour résumer mes impressions, j'ai trouvé le livre super pour l'action qui se passait dans une grande majorité du livre.
Élément d'observationLisibilité et complexité:
Le vocabulaire était très riche (par exemple: émerillon, requiem, pintadines etc.).  Je trouve que la construction des phrases était plutôt style du 19è siècle, évidemment (par exemple: «Et je goutais, plutôt en curieux qu'en gourmet, tandis que le capitaine Nemo m'enchantait pas ses incroyables récits.»)

Je trouve aussi que le nombre de personnages secondaires est parfait. Il n'y a ni trop de personnages secondaires pour tout mélanger l'histoire (trois personnages secondaires), ni insuffisamment. Je n'ai été confus qu'à quelque reprises seulement; après avoir relu le paragraphe, la phrase ou le chapitre, la signification m'est apparue claire.

L'histoire:
Ce magnifique récit me plait pour l'irréalisme et l'imagination de Jules Verne. Par exemple: comment un sous-marin peut-il avoir de l'électricité dans les années 1800? Jules Verne a décidé que cela était créé comme ceci.

p.111 - Le sodium mélangé avec du mercure, il forme un amalgame qui tient lieu de zinc dans les éléments Bunsen. Leur force électromotrice est double de celle au zinc.

J'ai trouvé le récit très inattendu mais ce que je trouve bizarre ou inhabituel est que le Nautilus soit un bateau si intelligent, dirigé par un capitaine aussi très intelligent, se rende dans le nombril de l'océan et finisse par disparaître.

J'ai facilement trouvé la fin du livre la plus intéressante parce que l'équipage se battent pour leurs vies à deux reprises et que l'action soit très intense à mesure que la conclusion approche. Voici une des deux exemples, lorsqu'ils se font emprisonner par les glaces du Pôle sud:

p. 367 «Ainsi, autour du Nautilus, au-dessus, au-dessous, un impénétrable mur de glace. Nous étions prisonniers de la banquise.»

Le professeur et tout le monde à bord allait mourir asphyxiés.

p. 378 «Je compris que j'allais mourir... ».


Le genre et les thèmes:
Tel que mentionné plus tôt, le récit me plait pour la créativité pour l'imagination contenues dans ce livre.

Mon opinion sur l'âge est simple. Je pense que n'importe qui âgé de plus vieux de treize ans peut adorer se livre, parce que la langue est riche, les thèmes et les sujets sont appropriés tant pour les jeunes de treize que pour les hommes et femmes de trente ans.

Les thèmes abordés sont originaux et je ne peux pas imaginer comment original ce récit a pu être au moment de sa première publication en 1869.

L'objet-livre:
Le format du livre est parfait: ni trop petit, ni trop grand. J'aurais aimé une plus grande écriture, mais ce n'est pas trop grave.

Ensuite une des rares choses que j'ai à reprocher de ce livre magnifique est les images. Il n'y a aucune image, la seule étant la page couverture. En conséquence, cela ne m'a pas facilité mon entrée dans ma lecture.


Les personnages:
Comme dernier critère, j'ai choisi les personnages, parce que d'après moi, ils sont les plus les importants car sans eux, il n'a pas d'histoire.

Pour commencer, les personnages me plaisent parce qu'ils sont tous différents. Par exemple, Ned Land le Canadien, un robuste harponneur fort et grand, impatient qui n'aime pas du tout l'idée de rester sur le Nautilus tandis que monsieur Aronnax, un calme professeur, intelligent patient et mature ne regrette pas du tout d'être capturé par le capitaine Nemo et son Nautilus pour finir ses recherches sur les fonds des mers (excepté la fin).

Les personnages ne ressemblent pas à ma vie car, reprenant l'exemple de Ned Land, je trouve qu'il n'a pas beaucoup de harponneurs de nos jours parce qu'on peut évidemment utiliser des machines pour chasser aujourd'hui.

Conclusion:
En conclusion, après cette longue appréciation je vais tout vous résumer. Bref, j'ai aimé le livre pour son action, son vocabulaire riche. Une grande variétés de personnes qui peut l'apprécier.

Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire mon appréciation sur Vingt mille lieues sous les mers.

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